Détail de l'auteur
Auteur Bernard Bourdin |
Documents disponibles écrits par cet auteur (4)
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche
L'ambivalence de la nation : histoire et défis contemporains dans le cadre d'une confédération européenne / Bernard Bourdin in Théophilyon, Tome XXIII Vol. 2 ([01/11/2018])
[article]
Titre : L'ambivalence de la nation : histoire et défis contemporains dans le cadre d'une confédération européenne Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Bourdin, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p 319-336 Langues : Français (fre)
in Théophilyon > Tome XXIII Vol. 2 [01/11/2018] . - p 319-336[article]Fratelli tutti ou La politique de la fraternité. / Bernard Bourdin in Théophilyon, Tome XXVII Vol. 1 ([01/04/2022])
[article]
Titre : Fratelli tutti ou La politique de la fraternité. : Tension ou absorption théologico-politique ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Bourdin, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p 127-144 Langues : Français (fre)
in Théophilyon > Tome XXVII Vol. 1 [01/04/2022] . - p 127-144[article]Théologie et politique / Erik Peterson
Titre : Théologie et politique : la controverse Type de document : texte imprimé Auteurs : Erik Peterson (1890-1960), Auteur ; Carl Schmitt, Auteur ; Bernard Bourdin, Éditeur scientifique Editeur : Cerf Année de publication : 2020 Importance : 211 p. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-204-13989-2 Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Résumé : Le christianisme a-t-il une signification politique ? La controverse qui opposa le théologien Erik Peterson au juriste et politiste Carl Schmitt est bien connue. Pour la première fois, leurs pensées se confrontent dans un seul ouvrage pour une mise en lumière inédite. Ainsi placés en confrontation par un spécialiste de la question théologico-politique, Le monothéisme comme problème politique de Peterson (1935) et Catholicisme romain et forme politique de Schmitt (1923-1925) apportent des éléments de réponse à un enjeu plus qu'actuel. Pour le théologien, démonstration savante est faite que le christianisme n'a pas vocation à justifier par sa théologie quelque ordre politique que ce soit, et à plus forte raison le nazisme. Pour le juriste et politiste, il s'agit de démontrer que le catholicisme est la meilleure voie pour proposer une conception ferme de la souveraineté politique. Le christianisme peut-il se passer d'une institution forte qui recourt aux moyens du monde politique afin d'être libre par rapport aux puissances de ce monde ? Une controverse théologico-politique passionnante, loin d'être révolue. Erik Peterson (1890-1960), de confession luthérienne, se convertit en 1930 au catholicisme. Son opposition à toute théologie politique dans Le monothéisme comme problème politique est la conséquence logique de sa conception catholique de la visibilité de l'Église. Carl Schmitt (1888-1985), juriste de formation, oriente dès la fin des années 1910 sa pensée juridique vers les questions politiques et théologiques. Catholicisme romain et forme politique est un des ouvrages majeurs dans lequel il articule droit, politique et théologie. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 16752 PH S 702d imprimé / indéterminé Couvent Nantes autre Exclu du prêt La Visibilité de l'Église – Catholicisme romain et forme politique – Donoso Cortés. / Carl Schmitt
Titre : La Visibilité de l'Église – Catholicisme romain et forme politique – Donoso Cortés. : Quatre essais Type de document : texte imprimé Auteurs : Carl Schmitt, Auteur ; Bernard Bourdin, Commentateur Editeur : Cerf Année de publication : 2011 Collection : La nuit surveillée Importance : 288 p. Format : 21,5 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-204-08864-0 Langues : Français (fre) Mots-clés : Philosophie Résumé : L'expression « théologie politique » n'a jamais été utilisée en tant que telle par les théologiens chrétiens. Elle n'apparaît pour la première fois que dans le titre d'un ouvrage majeur de la philosophie du XVIIe siècle, le « Traité théologico-politique » de Spinoza. L'intention de son auteur était de conjoindre la souveraineté et la liberté de pensée, et par là même de régler le « problème théologico-politique ». Il faut attendre l'anarchiste Bakounine, au XIXe siècle, pour « réhabiliter » la théologie politique à des fins révolutionnaires, puis pour dénoncer le déisme de Mazzini. En 1922, en rédigeant son premier texte sur la théologie politique, Carl Schmitt prend le contre-pied de l'anarchisme révolutionnaire. Avec le juriste rhénan, la théologie politique est désormais identifiée à la théorie de la souveraineté. C'est par une formule lapidaire, devenue célèbre, qu'il commence son essai : « Est souverain celui qui décide de la situation exceptionnelle. » Dès la fin du IIe Reich, puis dans le context de la république de Weimar, tout le projet intellectuel de Schmitt est d'articuler sa théorie du droit et du politique à une structure de pensée théologico-politique. Le problème de la démocratie libérale est son incapacité à disposer dune véritable théorie de la représentation, en raison de l'individualisme inhérent à la pensée libérale. Face à cette impuissance, le catholicisme, par sa structure ecclésiologique, offre au contraire tous les critères de la représentation politique et de la décision. Les textes que Bernard Bourdin présente dans ce volume, parus entre 1917 et 1944, sont des plus explicites s'agissant de ces aspects de la théorie schmittienne : institution visible de l'Église, forme représentative et décisionnisme. Ils mettent de surcroît en évidence la double ambivalence de la pensée de Schmitt dans son rapport au christianisme (catholique) et à la sécularisation. En raison de son homologie de structure entre Dieu, État et Église, la nécessité d'une transcendance théologico-politique plaide paradoxalement pour une autre approche d'une pensée politique séculière. Ambivalence qui ne sera pas non plus sans équivoque. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 28210 PH S702 imprimé / indéterminé Couvent Nantes autre Exclu du prêt